Grand rassemblement propalestinien au Royaume-Uni : environ 300 000 manifestants réclament un cessez-le-feu à Gaza. La manifestation, qui s’est déroulée dans le calme le samedi 11 novembre à Londres, était placée sous haute surveillance afin de prévenir tout débordement. La police avait déjà arrêté près de 200 personnes lors de précédentes marches pour la Palestine organisées depuis le 7 octobre. Le chiffre fourni par la police indique qu’il s’agissait de la plus grande manifestation organisée à Londres depuis les attaques terroristes du Hamas le 7 octobre. Les manifestants arborant des drapeaux palestiniens et brandissant des pancartes demandant l’arrêt des bombardements sur Gaza, ont crié « Free Palestine » et « Cease fire now », cinq semaines après l’attaque meurtrière du Hamas contre Israël, qui a provoqué en retour une importante riposte de bombardements sur la bande de Gaza. Certains membres d’Extinction Rebellion ont également pris part à la manifestation en plaçant « des centaines de chaussures d’enfants » à Trafalgar Square, symbolisant les jeunes Israéliens et Palestiniens morts dans les combats en cours. La manifestation s’est tenue malgré l’opposition du gouvernement qui l’a qualifiée d’irrespectueuse pendant le week-end des commémorations de l’armistice de la Première Guerre mondiale. Vendredi soir, le Premier ministre Rishi Sunak avait appelé les manifestants à marcher « pacifiquement et dans le respect ». Des contre-manifestants nationalistes étaient également présents en grand nombre à la capitale, selon la police. Selon plusieurs médias britanniques, Tommy Robinson, fondateur du groupe d’extrême droite English Defense League, se trouvait parmi eux. Des échauffourées ont éclaté dès la fin de la matinée entre la police et certains de ces militants, certains agitant le drapeau de l’Angleterre ou de l’Union Jack, et tentant de se rapprocher du quartier de Whitehall où se trouve le mémorial en hommage aux soldats britanniques morts au combat. En début d’après-midi, la police a annoncé avoir arrêté 82 de ces contre-manifestants « pour empêcher la perturbation de la paix » alors qu’ils « tentaient de rejoindre la marche » propalestinienne.
L’article fournit des informations sur un grand rassemblement propalestinien qui a eu lieu au Royaume-Uni. Il indique qu’environ 300 000 personnes ont participé à la manifestation calme à Londres le samedi 11 novembre, réclamant un cessez-le-feu à Gaza. La police a indiqué que c’était la plus grande marche organisée à Londres depuis le 7 octobre, date des attaques terroristes du Hamas. Les manifestants ont porté des drapeaux palestiniens, des pancartes demandant la fin des bombardements sur Gaza, et ont crié des slogans appelant à la libération de la Palestine et à un cessez-le-feu immédiat. Certains membres d’Extinction Rebellion ont également participé en plaçant des chaussures d’enfants à Trafalgar Square, symbolisant les victimes des combats en cours.
L’article fait également mention de l’opposition du gouvernement à la manifestation, le qualifiant d’irrespectueux pendant le week-end des commémorations de l’armistice de la Première Guerre mondiale. Il souligne également la présence de contre-manifestants nationalistes, dont Tommy Robinson, fondateur du groupe d’extrême droite English Defense League. Des affrontements ont éclaté entre la police et certains de ces contre-manifestants, qui tentaient de se rapprocher du quartier de Whitehall où se trouve le mémorial des soldats britanniques. La police a arrêté 82 de ces contre-manifestants pour préserver la paix lors de la marche propalestinienne.
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