Une avancée majeure dans la lutte contre le mpox
Une nouvelle étape importante a été franchie dans la lutte contre le mpox, une maladie virale qui a déjà entraîné près de 900 décès en Afrique depuis le début de l’année. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a approuvé le premier diagnostic in vitro (DIV) pour ce virus, comme l’a annoncé un communiqué de l’organisation le vendredi 4 octobre.
Ce diagnostic précoce du mpox permettra un traitement et des soins rapides, ainsi qu’un meilleur contrôle de la propagation du virus. En inscrivant cet outil sur sa liste d’utilisation d’urgence, l’OMS facilite sa distribution par d’autres agences de l’ONU et garantit aux autorités sanitaires des pays touchés son efficacité, ce qui devrait accélérer sa mise à disposition.
Cette avancée est cruciale, notamment en Afrique où les capacités de dépistage sont limitées et où les retards dans la confirmation des cas de mpox favorisent la propagation continue du virus.
Le mpox, un virus à surveiller de près
Le mpox, également connu sous le nom de variole du singe, est une maladie virale qui se transmet de l’animal à l’homme, mais peut également se propager d’humain à humain. Les symptômes incluent de la fièvre, des douleurs musculaires et des lésions cutanées. En 2024, plus de 30 000 cas suspects ont été signalés en Afrique, avec les chiffres les plus élevés enregistrés en République démocratique du Congo, au Burundi et au Nigeria.
Il est essentiel de noter que les informations communiquées dans cet article sont basées sur un communiqué de presse de l’OMS. Il est important de vérifier la fiabilité des sources et de croiser les informations avec d’autres sources d’information pour une vue d’ensemble précise de la situation.