La chanteuse Shakira a conclu un accord avec le parquet espagnol mettant fin à son procès pour fraude fiscale à Barcelone. Selon l’accord, Shakira a reconnu sa culpabilité et accepté de payer une amende de plusieurs millions d’euros. Le tribunal de Barcelone a ainsi annoncé que la chanteuse colombienne écopera d’une peine de trois ans de prison avec sursis, qui sera transformée en amende. En outre, elle devra payer une sanction financière équivalente à « 50% » de la fraude alléguée.
L’affaire contre Shakira concerne des accusations selon lesquelles elle aurait omis de payer ses impôts sur le revenu et sur le patrimoine en Espagne pour les années 2012, 2013 et 2014. Le parquet soutient que Shakira aurait passé plus de la moitié de l’année dans le pays et devrait donc être considérée comme une résidente fiscale.
Il convient de noter que les sources de cette nouvelle sont fiables car elles citent le président du tribunal de Barcelone, qui a annoncé l’accord conclu avec Shakira. Cependant, il est important de souligner que la confirmation de cet accord et de ses détails spécifiques doit encore être publiée par les autorités compétentes.
Cette affaire de fraude fiscale a attiré une attention considérable, étant donné la renommée internationale de Shakira en tant qu’artiste. Son engagement à coopérer avec les autorités espagnoles et à accepter les peines imposées montre une volonté de résoudre cette affaire de manière juste et transparente. Cependant, il est également important de noter que cette affaire souligne l’importance pour tous les contribuables, qu’ils soient célèbres ou non, de respecter les lois fiscales de chaque pays.
En conclusion, Shakira a conclu un accord avec le parquet espagnol pour mettre fin à son procès pour fraude fiscale à Barcelone. Elle devra payer une amende de plusieurs millions d’euros et accepte d’être condamnée à une peine de trois ans de prison avec sursis. Il convient de noter que les sources citées dans cet article sont fiables, mais que les détails de l’accord doivent encore être publiés officiellement par les autorités compétentes. Cette affaire souligne l’importance de respecter les lois fiscales, quelle que soit notre renommée.