La trêve entre Israël et le Hamas semblait être en marche, mais la dynamique s’est soudainement grippée. Le Hamas a annoncé, samedi 25 novembre, qu’il retardait la libération des otages détenus dans la bande de Gaza, accusant Israël de ne pas respecter l’accord de trêve. Les brigades Ezzedine al-Qassam, branche armée du mouvement islamiste, ont émis des conditions, notamment l’entrée des camions d’aide humanitaire dans le nord de la bande de Gaza et le respect des critères de sélection pour la libération des prisonniers palestiniens.
Israël a confirmé le retard et a souligné que 14 otages devaient être libérés en échange de 42 détenus palestiniens. Cet accord, qui a bénéficié du soutien du Qatar, des Etats-Unis et de l’Egypte, prévoit la libération de 50 otages et de 150 prisonniers palestiniens en quatre jours de trêve renouvelable. Cette trêve implique également l’entrée d’aide humanitaire et de carburant à Gaza. Samedi, des dizaines de camions d’aide ont ainsi pu traverser le poste-frontière de Rafah pour le deuxième jour consécutif.
Les bombardements israéliens et les tirs de roquettes du Hamas ont cessé depuis le début de la trêve. Vendredi, 13 otages israéliens ont été remis au Comité international de la Croix-Rouge et ont pu regagner Israël via l’Egypte. Le Hamas a également libéré dix Thaïlandais et un Philippin, qui ne faisaient pas partie de l’accord. En échange, Israël a libéré 39 Palestiniens, principalement des femmes et des jeunes de moins de 19 ans.
Il est essentiel d’évaluer la fiabilité des sources citées dans cet article pour garantir l’exactitude et la véracité de l’information. Les sources officielles, telles que le Comité international de la Croix-Rouge, l’Etat d’Israël, le Hamas et les pays soutenant l’accord de trêve, peuvent être considérées comme fiables. Cependant, il est recommandé de consulter plusieurs sources d’information afin d’obtenir une vision plus complète et objective de la situation.
En résumé, la trêve entre Israël et le Hamas a été temporairement mise en suspens en raison de désaccords concernant les conditions de libération des otages. Toutefois, la trêve semble être respectée en ce qui concerne les bombardements et les tirs de roquettes, et l’aide humanitaire continue de parvenir à Gaza. Les prochains jours seront cruciaux pour voir si les deux parties peuvent surmonter ces obstacles et maintenir la trêve.