Le rappeur américain Sean Combs, connu sous le nom de Diddy, fait face à de nouvelles accusations d’agression sexuelle. Selon le magazine Rolling Stone, il aurait récemment conclu un accord à l’amiable avec son ex-compagne, la chanteuse Cassie, pour une affaire de viol et de violences physiques. Les détails de cet arrangement n’ont pas été divulgués.
Cependant, une autre femme du nom de Joi Dickerson-Neal a déposé une assignation contre Diddy à New York, affirmant avoir été droguée, agressée sexuellement et abusée par le rappeur lors d’un dîner en 1992, alors qu’elle était étudiante en psychologie à l’université de Syracuse. À l’époque, Diddy travaillait en tant que directeur des talents chez le label Uptown Records.
Dickerson-Neal affirme également que Diddy aurait filmé la scène et diffusé la vidéo en tant que « revenge porn », une pratique qui consiste à divulguer publiquement des images sexuelles, généralement sans consentement, dans le but de se venger. Elle a intenté cette procédure en vertu de l' »Adult Survivors Act » de l’État de New York, qui permet aux victimes de violences sexuelles de porter plainte pour des faits prescrits. Cette loi est entrée en vigueur en novembre 2022 pour une durée d’un an, mais elle est arrivée à expiration récemment.
Dans sa demande, Dickerson-Neal réclame un procès devant un jury et des dommages et intérêts. Un représentant de Diddy a réagi à cette accusation, affirmant que l’histoire de Dickerson-Neal était inventée et non crédible. Selon lui, il s’agit simplement d’une tentative de soutirer de l’argent.
Le magazine Rolling Stone a également ajouté qu’une autre femme, qui a choisi de rester anonyme, accuse Diddy et son collaborateur Aaron Hall de l’avoir violée lors d’une fête dans les années 1990.
Il est important de noter que la fiabilité des sources citées dans cet article est respectable. Rolling Stone est un magazine bien établi et reconnu pour son journalisme d’investigation. Newsweek, quant à lui, est également un magazine américain de premier plan qui suit des normes journalistiques élevées.
Il convient de traiter ces accusations avec prudence et d’attendre que la justice suive son cours. Les personnes mentionnées dans cet article sont présumées innocentes jusqu’à preuve du contraire. Les accusations d’agressions