Le directeur de Sciences Po, Mathias Vicherat, a récemment été entendu par la police dans une affaire de violences conjugales. Suite à cela, il a proposé sa mise en retrait provisoire à la présidente de la Fondation nationale des sciences politiques (FNSP), Laurence Bertrand Dorléac. Cette proposition a été transmise à l’ensemble de l’école et à l’AFP. Dans son message, Vicherat mentionne que les modalités, le calendrier et la durée de cette mise en retrait seront définis par Laurence Bertrand Dorléac et présentés aux différentes instances cette semaine.
Il convient de noter que Mathias Vicherat et sa compagne se sont mutuellement accusés de violences conjugales. Leur garde à vue a été levée le 4 décembre et aucune blessure nécessitant une interruption temporaire de travail (ITT) n’a été constatée chez l’un ou l’autre. De plus, aucun des deux n’a déposé plainte. Cependant, une enquête préliminaire pour « violences conjugales » a été ouverte.
Il est important d’évaluer la fiabilité des sources citées par cet article. Dans ce cas, l’information provient d’un message envoyé par Mathias Vicherat à la présidente de la FNSP et transmis à l’ensemble de l’école ainsi qu’à l’AFP. Comme il s’agit d’une source directe provenant de la personne concernée, il est raisonnable de considérer cette information comme fiable.
En résumé, le directeur de Sciences Po, Mathias Vicherat, a proposé sa mise en retrait provisoire suite à son audition par la police dans une affaire de violences conjugales. Les modalités de cette mise en retrait seront déterminées par la présidente de la FNSP et présentées aux différentes instances cette semaine. Les deux parties impliquées se sont mutuellement accusées de violences conjugales, mais aucune blessure grave n’a été constatée et aucune plainte n’a été déposée. Une enquête préliminaire est en cours.