Le projet de loi visant à inscrire l’interruption volontaire de grossesse (IVG) dans la Constitution sera présenté lors du prochain Conseil des ministres, le 13 décembre prochain. Cette proposition, qui a été discutée lors d’une réunion à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) entre Emmanuel Macron et les chefs de parti, pourrait être soumise au Parlement lors d’une session en Congrès en mars de l’année prochaine.
Selon la promesse d’Emmanuel Macron, cette formulation vise à faire de l’IVG un droit « irréversible ». Pour que cette proposition soit adoptée, il faudra que 3/5e des députés et sénateurs réunis lors du Congrès donnent leur aval. Si elle est adoptée, cette inscription dans la Constitution renforcera les droits des femmes en matière de choix reproductifs.
Il est important de noter que les résultats de ce projet de loi dépendront des voix favorables au Parlement, et il reste encore à voir si les députés et sénateurs seront enclins à soutenir cette initiative.
Lors de cette réunion à Saint-Denis, d’autres sujets ont été abordés, notamment la situation de conflit entre Israël et le Hamas, avec un focus particulier sur la question des otages à Gaza. Fabien Roussel, chef de file du Parti communiste, a souligné que les négociations étaient difficiles dans le but d’obtenir leur libération.
En ce qui concerne l’immigration, il a été conclu lors de cette réunion qu’un référendum sur ce sujet n’était pas à l’ordre du jour en raison de l’absence de consensus parmi les participants.
Il est essentiel de noter que cet article repose sur des sources rapportant les propos tenus lors de cette réunion entre Emmanuel Macron et les chefs de parti. La fiabilité de ces sources doit être évaluée en tenant compte de la réputation et de la crédibilité des médias qui les ont rapportées.