Gaza et la Cisjordanie devraient être réunifiées sous une même structure de gouvernance, selon une tribune publiée par le président des États-Unis, Joe Biden, dans le Washington Post. Il plaide en faveur d’une « Autorité palestinienne revitalisée » pour remplacer le Hamas au pouvoir depuis 2007. Néanmoins, le Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou rejette cette proposition, affirmant que l’autorité actuelle n’est pas apte à prendre la responsabilité de Gaza, dénonçant notamment son soutien et son financement du terrorisme.
Joe Biden met également en garde les colons « extrémistes » en Cisjordanie, menaçant de sanctions ceux qui attaqueraient les Palestiniens. Il souligne l’importance d’une solution à deux États pour assurer la sécurité à long terme des Israéliens et des Palestiniens. Le président américain est conscient que cette perspective semble actuellement éloignée, mais estime que la crise actuelle la rend encore plus nécessaire.
L’article ne mentionne pas les sources citées, ce qui rend difficile d’évaluer leur fiabilité. Néanmoins, étant donné qu’il rapporte des propos tenus par des personnalités politiques, il est fort probable qu’ils soient véridiques. Il est toujours recommandé de vérifier l’information auprès de plusieurs sources pour obtenir une vision plus complète et objective de la situation.
Biden insiste sur le fait que Gaza ne doit plus servir de base pour le terrorisme et énumère les mesures à prendre pour éviter des actions préjudiciables telles que les déplacements forcés, la réoccupation, le siège, le blocus et la réduction territoriale. En revanche, il s’oppose à un cessez-le-feu dans la bande de Gaza, arguant que tant que le Hamas persistera dans son idéologie destructrice, un cessez-le-feu ne garantira pas la paix.
Il est important de souligner que cet article retranscrit des positions politiques et ne prétend pas donner de solution définitive au conflit israélo-palestinien. Les opinions exprimées ici sont celles de Joe Biden et de Benyamin Nétanyahou et ne reflètent pas nécessairement la réalité de la situation sur le terrain.