Dans une lettre adressée aux Français publiée par le journal Le Parisien, samedi 11 novembre, le président Emmanuel Macron a condamné fermement la résurgence de l’antisémitisme. Il a qualifié cet antisémitisme, qu’il soit religieux, social, identitaire ou racial, d’odieux, reprenant les mots d’Émile Zola. Le chef de l’État a souligné que la peur des concitoyens juifs n’était pas compatible avec les valeurs de la France et que personne ne devrait vivre dans la crainte en raison de sa religion ou de son origine. Macron a appelé à l’unité nationale derrière les valeurs et l’universalisme de la France, exhortant les citoyens à travailler pour la paix et la sécurité de tous au Proche-Orient. Il a insisté sur le fait que la lutte contre l’antisémitisme ne devait pas diviser les Français, ni les opposer les uns aux autres.
La déclaration d’Emmanuel Macron intervient à la veille d’une grande marche contre l’antisémitisme qui se déroulera en France. Le président a assuré qu’il serait présent « par le cœur et par la pensée » à cette marche de mobilisation. Il a expliqué que son rôle en tant que président était de bâtir l’unité nationale et d’être ferme sur les valeurs, plutôt que de se contenter de participer à des manifestations régulières.
Dans cette lettre, Emmanuel Macron fait appel aux Français pour lutter ensemble contre l’antisémitisme, réaffirmant la nécessité d’une France tolérante et inclusive. Les mots du président sont forts et montrent son engagement envers la protection des droits et des libertés fondamentales de tous les citoyens. Cependant, il est important d’examiner attentivement la fiabilité du journal Le Parisien en tant que source d’information, et de vérifier si d’autres sources confirment les propos du président. Il est également essentiel de continuer à suivre les actions concrètes entreprises par le gouvernement français pour lutter contre l’antisémitisme et pour promouvoir l’inclusion et la diversité.