Le chorégraphe Bruno Vandelli jugé pour corruption de mineur :
Le parquet a requis, mercredi 17 avril, un an de prison avec sursis contre le chorégraphe cannois Bruno Vandelli, connu pour sa participation en tant que juré sur l’émission « Popstars 2 » diffusée sur M6 en 2002. Il comparaissait aux côtés de son ex-mari pour des accusations de corruption de mineur, devant le tribunal correctionnel de Grasse, dans les Alpes-Maritimes. Le jugement a été reporté au 28 juin.
Les deux hommes sont suspectés d’avoir échangé des photos et vidéos à caractère pornographique avec un adolescent entre 2016 et 2017. La victime, rencontrée lors de stages de danse, avait 14 puis 15 ans au moment des faits, soit en dessous de l’âge légal de la majorité sexuelle. Bruno Vandelli a affirmé lors de l’audience qu’il pensait que le jeune homme était plus âgé et que tout échange avait pris fin dès qu’ils avaient appris son âge. La victime, aujourd’hui âgée de 22 ans, demeure profondément affectée, selon son avocate Kaltoum Gachi, bien qu’elle n’ait pas assisté à l’audience. C’est sa mère, également partie civile, qui a pris la parole pour témoigner.
Malgré ces accusations, Bruno Vandelli est déjà confronté à des poursuites pour « viol » suite à une plainte déposée par un autre de ses anciens élèves, Yanis Marshall, un ancien professeur de danse de l’émission « Star Academy ». Dans une interview accordée au quotidien régional Nice-Matin, le chorégraphe de 62 ans a réfuté ces allégations en les qualifiant de « mensonges et calomnies », présentant la relation consentie avec le jeune danseur, âgé de 16 ans à l’époque, comme une « histoire d’amour ».
Fiabilité des sources :
Il est crucial de vérifier la fiabilité des sources d’informations pour s’assurer de la véracité des faits rapportés. Dans ce cas, les déclarations concernant les poursuites judiciaires et les témoignages de l’accusation proviennent de sources médiatiques établies, telles que les comptes rendus de l’audience au tribunal correctionnel de Grasse. De plus, les propos tenus par l’avocate de la victime, Kaltoum Gachi, ont été rapportés dans le cadre de son rôle légal. Pour l’interview de Bruno Vandelli publiée par Nice-Matin, il convient de considérer le sérieux et l’éthique du journal en question pour évaluer la crédibilité des informations citées.
En résumé, la prudence dans l’évaluation des sources et la contextualisation des événements judiciaires permettent de fournir une information précise et équilibrée aux lecteurs. La vérification des faits et la diversification des points de vue contribuent à une couverture journalistique fiable et informativement solide.