L’Institut français de Gaza a été la cible d’une frappe israélienne, selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères publié le vendredi 3 novembre. Le quai d’Orsay a précisé que aucun agent de l’Institut ni aucun ressortissant français ne se trouvait sur les lieux au moment de l’attaque. La France attend désormais des explications de la part des autorités israéliennes quant aux raisons ayant motivé cette décision. Depuis le 7 octobre et l’attaque terroriste du Hamas, la bande de Gaza fait l’objet de bombardements.
Plus tôt dans la journée de vendredi, la France avait déjà condamné les frappes israéliennes visant les sites des Nations unies et le personnel humanitaire. Olivier Véran, porte-parole du gouvernement français, avait exprimé son indignation quant aux trois attaques israéliennes perpétrées contre le camp de réfugiés de Jabaliya, dans le nord de la bande de Gaza. Selon le Hamas, ces bombardements ont causé la mort de plus de 200 personnes, mais ces chiffres ne peuvent être vérifiés de manière indépendante.
Concernant la fiabilité des sources citées dans cet article, il est important de noter que les informations proviennent principalement du ministère des Affaires étrangères français et du communiqué officiel publié par ce dernier. En ce qui concerne les chiffres donnés par le Hamas, il est difficile de les corroborer de manière indépendante, car l’accès à la région est limité en raison du conflit en cours.
En conclusion, cet article rapporte les faits concernant la frappe israélienne contre l’Institut français de Gaza, ainsi que la réponse et les déclarations de condamnation de la France. Les sources utilisées, bien que provenant principalement du gouvernement français, doivent être évaluées avec prudence en raison de la nature conflictuelle de la situation.