La France a condamné fermement les attaques contre les sites des Nations unies et les personnels humanitaires, suite à plusieurs frappes israéliennes, notamment sur le camp de réfugiés de Jabaliya, le plus grand de la bande de Gaza. Selon le gouvernement du Hamas, au moins 27 personnes ont été tuées dans une frappe israélienne près de l’école de l’ONU dans le camp de Jabaliya, soit le troisième bombardement en trois jours. Les frappes précédentes ont fait 195 morts, 777 blessés et 120 disparus sous les décombres, selon le Hamas. Cependant, ces bilans ne peuvent pas être vérifiés de source indépendante.
Le gouvernement israélien a affirmé que le bombardement de mardi a permis d’éliminer un haut dirigeant du mouvement islamiste, mais cette information n’a pas pu être vérifiée. Mercredi, la France avait exprimé sa profonde inquiétude devant le lourd bilan des frappes israéliennes sur le camp de Jabaliya, soulignant que la protection des populations civiles est une obligation du droit international.
L’ONU, par le biais de son secrétaire général Antonio Guterres, a également exprimé son indignation face aux bombardements sur ce camp densément peuplé où vivent 116 000 réfugiés.
Il est important de noter que ces informations sont basées sur les déclarations des parties impliquées et qu’elles doivent être évaluées avec prudence. Il est nécessaire de rechercher des sources d’information indépendantes pour obtenir une image plus complète et fiable de la situation.
En condamnant fermement ces attaques, la France souligne une fois de plus l’importance de respecter le droit international et de protéger les populations civiles dans les conflits armés.
La situation dans la bande de Gaza reste tendue et il est essentiel que toutes les parties fassent preuve de retenue pour éviter une escalade des violences et permettre un retour à la paix et à la stabilité dans la région.